reliques appliqués à la possédée produisait sur elle un effet de douleur à l’extérieur que produirait un fer rouge appliqué subitement à une personne.
Quelquefois, la possédée saisissait mon surplis ou les robes des religieuses pour les déchirer. Il suffisait alors de toucher ses mains avec les reliques ou avec un peu d’eau bénite et aussitôt elles lâchaient brusquement prise, comme si l’on avait versé sur elles de l’eau bouillante.
Je remarque en passant, que la voix du démon est différente de celle de la possédée. La voix du démon a quelquechose de dur et de caverneux, la voix de la jeune personne, au contraire, est douce et sympathique.
Revenons maintenant à la marche de l’exorcisme.
La possédée sans connaissance, s’était laissée glisser par terre, et s’agitant étendue sur les tapis de la sacristie.
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