ce mensonge. Lorsque pendant l’Exorcisme, je nommai Marie, sa Bonne Mère, le démon dit: Elle m’a fait assez souffrir en écrivant cela. Dans ses lettres, la possédée écrit toujours: Marie, ma Bonne Mère. J’ai dit au démon: Tu as voulu singer J. C. et avoir en elle une épouse? Oui, j’ai vu en elle un cœur aimant, j’ai espéré la gagner. Et tu n’as pas réussi? Si je n’ai pas réussi, ce n’est pas de ma faute.
Comme toujours, pendant tout le temps de l’Exorcisme, la possédée était privée de ses sens. J’ai exprès interrompu l’Exorcisme et me suis mis à parler à la possédée elle-même. Elle n’a donné aucun signe de connaissance.
Le soir même, après l’Exorcisme, elle revint et me dit qu’elle allait beaucoup mieux. Le mutisme avant aussi diminué. Cependant, les douleurs de la pauvre Enfant sont encore