Après quelques jours de calme, les tentations de désespoir et le découragement recommencèrent. La jeune personne m’écrit le 6 Juillet: «J’ai encore besoin d’entendre souvent vos bonnes paroles. Le découragement vient souvent me visiter et je me trouve abattue par cela même qui devait me fortifier. Toutes les grâces que j’ai reçues se dressent devant moi comme pour me condamner. J’avoue, Bon Père, que je me trouve bien faible pour résister; mais soyez sans inquiétude, votre pauvre Enfant n’a pas encore succombé complètement. Je me rappelle ce que vous me dites et je dis: Mon Dieu, je crois et j’obéis, je veux vous aimer avec ma volonté et non avec mon sentiment…». Elle m’annonce en même temps qu’elle allait partir pour retourner dans sa famille. Elle resta cependant encore jusqu’à la fin du mois de Juillet.
