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dédain: Ah! Tu souffres, tu l’avoues!... avec la rapidité d’un éclair le démon redressa la possédée et me dit avec orgueil et avec rage: «Non, je ne souffre pas».
Je me suis toujours appliqué à ne pas cesser l’Exorcisme que lorsque le démon avait obéi à mes ordres; de cette manière, je le renvoyais chaque fois humilié. Cela m’a réussi presque toujours; je dis presque car dans certains cas il n’a pas obéi. Avant tout, il fallait décider la pauvre personne à recevoir la Ste Communion. Dieu aidant et les exorcismes privés, je parvins à la faire communier toutes les semaines et même deux ou trois jours de suite.
Ces communions la faisant souffrir beaucoup surtout dans le cœur.
Les souffrances physiques, les contorsions, les grincements des dents allaient en augmentant; mais aussi les forces morales de la possédée devenirent plus grandes et plus efficaces dans