grandes souffrances qui, comme je craignais se sont produites extérieurement. Mr P. vous en parlera, j’ai trop peu de temps. Les sentiments de haine pour N. D. reviennent de nouveau avec violence.
J’éprouve aussi de violentes tentations contre la pureté. Mais ce ne sont que des impressions auxquelles je n’ai pas consenti. Pourquoi, Mon Père, le Bon Dieu me soumet-il à toutes ces choses qui avaient si bien disparu? Tous ces infernaux démons seraient-ils de nouveaux en moi? Que faire. Que devenir?
Elle m’annonçait en même temps une prochaine lettre de M. P. mais cette lettre n’arrivait pas. J’avais déjà antérieurement écrit à Mr P. en le priant de faire revenir D. L. à Paris. Je lui ai exprimé la crainte que plus tard, il pourrait être trop tard. Le progrès successif et sûr du démon me fit craindre le retour du démon impur nocturne qui depuis son départ au
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