Si jamais je vous le redemande, ne me le rendez pas; dites-moi, dès ce jour, dites-moi que vous ne pouvez accueillir ma demande, que je vous l’ai donné, qu’il est à vous sans retour. Je renouvelle, Bonne Mère, la promesse que je vous ai faite de ne jamais passer un seul jour (par ma faute) sans dire mon Chapelet. Je renouvelle aussi mon vœu de virginité.
Soyez, ô Bonne Mère, toute miséricordieuse pour votre indigne enfant
Paris, le 21 Février 1878».
La dernière phrase, Soyez, ô bonne Mère… puis Paris le 21 Février 1878, et son nom sont entièrement écrits de son sang.
Le 23, en disant la Ste Messe, j’ai mis cet acte de consécration sur l’autel sous le corporal.
Elle vint me voir dans la matinée pour se confesser. La pauvre Enfant avait été fortifiée par la Ste Vierge pour la lutte.