encore. Voici ce qu’elle m’écrit à ce sujet le 15 Février. «Vous dirai-je maintenant, Bon Père, ce que j’ai souffert cette nuit? Il s’est montré à moi avec un air triste mais plein de douceur et il m’a dit: si tu voulais seulement me dire un mot, je te ferais trouver des douceurs que tu n’as jamais connue. Il veut te tuer et se dit ton Père dévoué. Mon Père, il était séduisant; et, sans répondre, j’ai failli (je suppose répondre) un instant. Il faut vraiment une force qui n’est pas de moi pour résister à tout d’attaques!... Bonne Mère, Bonne Mère, c’est vous qui secourez votre pauvre et misérable enfant, montrez votre miséricorde, que ma consécration soit ineffaçable. Bon Père, je suis depuis ce matin sous une impression de frayeur indéfinissable; tout me fait peur, sans que je puisse me rendre compte pourquoi». D’un autre côté, la Ste Vierge, sa bonne Mère l’encourage ou l’enseigne intérieurement. Elle a entendu cette voix:
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