n’était pas encore achevé ou à peine, et déjà la possédée gisait par terre privée de sa connaissance, se débattant avec violence, se frappant vigoureusement la tête à coups de poings.
Ces agitations, ces contorsions, ces résistances étaient plus fortes qu’à l’exorcisme précèdent. Le démon parlait beaucoup en réponse à mes ordres et à mes imprécations, mais entre les dents, et il m’a été impossible de comprendre.
J’ai saisi seulement quelques phrases adressées aux religieuses comme par exemple: Que veulent-elles ici, qu’elles sortent!
En le pressant par les exorcismes, je parvins cependant à obtenir quelques réponses nettes et claires; les voici: J’ai commencé par lui dire:
Es-tu le même que celui qui dans le dernier exorcisme a dit: «Je pars, je pars, je sors». Un autre: il est parti, je suis resté.
Quel est ton nom?
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