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mais impossible de dire de bouche les invocations».
Comme D. L. était en place, elle ne venait que rarement surtout depuis le nouvel an. Il était donc impossible de la diriger comme je l’aurais voulu. J’ai écrit alors à son confesseur de province, lui signifiant qu’il me serait impossible d’agir avec efficacité aussi longtemps que la pauvre possédée resterait en place; qu’elle avait besoin de communier souvent, de me voir souvent, toutes choses incompatibles avec sa position de domestique.
Heureusement, la divine Providence me vint en aide. La jeune personne quitta sa place et vint loger chez son frère qui ne demeure pas loin de notre maison. Elle quitta ses maîtres le 1er Mars 1877. A partir de ce jour jusqu’à sa délivrance, je la fis venir tous les jours au confessionnal, puis j’exorcisais pendant quelques minutes;