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Depuis qu’on me l’avait adressée, je ne l’ai eu sous ma direction suivie que pendant deux mois: Avril et Mai 1876. Elle partit ensuite avec ses maîtres et resta absente de Paris jusqu’au 19 Novembre 1876.
Elle passa, il est vrai, deux ou trois fois par Paris pendant l’été, mais trop rarement pour pouvoir suivre une direction et subir l’influence constante du confesseur que nécessitait son état.
Sa condition de domestique ne lui permettait que de me voir rarement, à peine tous les huit jours. Cependant, sous l’influence d’une direction suivie, on pouvait espérer un résultat favorable.
Comptant sur la bonté de la Ste Vierge, je fis espérer à la pauvre possédée qui aime tant sa bonne Mère, que la prochaine fête de l’Immaculée Conception serait peut-être son jour de délivrance. Elle m’écrit le 19 Décembre 1876.
«Vous m’aviez presque assuré, bon Père,

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