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ta faiblesse". Elle permet que sa pauvre enfant se laisse un peu dominer par ses répugnances et ne supporte qu’imparfaitement souvent cette lutte pénible contre les efforts l’enfer. La Sainte Vierge lui reproche ses résistances et son imperfection, et quand l’épreuve est fini Elle dit: "J’ai voulu voir jusqu’où pouvait aller ta résistance".Marie-Aimée sort de cette lutte humiliée: "Je rougis de ma faiblesse et de ma lâcheté. Je réparerai toutes ces lâcheté, toutes ces résistances...".
Son cœur est purifié et humilié; aussi est-il en état d’être renfermé dans le Cœur de Jésus; la S^te Vierge lui en donna la consolante assurance: "Je te renferme pour toujours dans le Cœur de Jésus". Ne crains plus rien de l’enfer". Maintenant elle n’a plus rien à craindre de l’enfer. Aussi longtemps que ce cœur n’était pas encore suffisamment humble et pur, l’action de l’enfer était à craindre; maintenant le démon n’aura plus de prise sur ce cœur, il ne pourra plus l’entraîner loin de Jésus.
Mais s’ensuit-il que Marie-Aimée n’aura plus rien à souffrir de l’enfer? La joie de la voir délivrée nous porte naturellement à expliquer les paroles de la S^te Vierge: "Ne crains plus rien de l’enfer" dans le sens d’une délivrance complète de toute nouvelle possession ou vexation de la part du démon. Les

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