encore fini. Le lendemain, le 14, vint une autre possédée: celle-ci s’attaque à la sœur de Marie-Aimée, quoique beaucoup moins violemment; mais enfin c’était fait pour faire dire à Marie-Aimée qu’elle ne remettrait plus le pied dans une Eglise où de pareilles attaques se succédaient, et c’est là que Lucifer voulait en venir. Marie-Aimée elle-même prétend (mais le démon a pu la tromper) qu’à la Ste Communion le Prêtre l’avait passée sans lui donner la Ste Communion. Tout cela devait la dégoûter de notre Eglise, et par suite l’éloigner de son Directeur et laisser de Marie-Aimée. Heureusement, malgré toutes ses répugnances, je parvenais, toujours aidée par la Ste Vierge, à maintenir Marie-Aimée dans la voie de l’obéissance. Je lui fis même faire un nouvel acte de consécration qui devait être mis sur l’autel le jour de l’Assomption. Le voici:
Ma bonne Mère, si demain(1) votre pauvre enfant est entièrement délivrée, je Vous promets de faire pour la fête de Votre très Saint Cœur, ô ma bonne Mère,
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(1)-Elle avait écrit cet acte dès la veille; mais l’a daté du jour de la fête
