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reste plus rien dans mon cœur qui ne soit par vous, à Jésus; mon divin Époux. Alors ma Bonne Mère a bien voulu me consoler par ces mots que je méritais bien peu d’entendre après tout de résistance et de lâcheté: Mon Père, qui n’aimerait pas cette Bonne Mère? Non, coûte que coûte, avec sa puissante protection, jamais je ne veux plus rien lui refuser.
Mon divin Fils, m’a dit cette bonne Mère, veut bien oublier ton long retard. Je Lui ai présenté ton sacrifice et Il l’a béni, parce que tu n’y as apporté aucune réserve. C’est ainsi qu’Il veut toujours trouver ton cœur vide de tout ce qui n’est pas Lui.
Mais alors, Bonne Mère, pourquoi tout en vous priant, suis-je restée si faible et si lâche devant un sacrifice que vous me demandiez depuis si longtemps?
Sois sans crainte, l’épreuve est passée et j’ai toujours gardé ton cœur pur. Tu connais