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sacrifice le plus pénible pour la nature.
La Ste Vierge lui demandait la mort de sa vie actuelle, la mort de cette vie par le cœur, le sacrifice de la jouissance que l’amour légitime et honnête de la créature peut donner, pour ne plus chercher d’autres jouissances que celle que donnent l’amour de J. C. et la Croix. La pauvre Enfant le comprenait, c’était pour elle une vraie agonie.
Résister à cette bonne Mère qu’elle aime tant, lui refuser ce qu’elle demande, elle ne le peut pas; se refuser la seule jouissance qu’elle a sur la terre, s’interdire toute puissance autre qui celle que donne l’amour de Jésus et de sa Croix, c’est trop, elle ne le peut pas.
Aussi, cette lutte intérieure entre son amour pour Marie et sa nature qui refuse de se laisser donner le coup de mort devient une vraie agonie.
Elle fit un premier effort généraux et me remit Samedi soir un acte signé de son