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moi souvent que cette bonne Mère m’aime toujours et que je suis son enfant bien indigne, c’est vrai, mais je l’aime du plus profond de mon âme. Je vous promets avec le secours de cette bonne Mère de faire demain la Ste Communion". La dame chez laquelle elle était en service partit alors et s’en retourna dans la ville de [[citesName::Désirée Léjeune|D. L.]], où cette dernière retrouva son ancien confesseur [[citesName::Mr. P.]]. Elle m’écrivit de là le <span style="color:Blue">22 juin 1876</span>. "Je n’ai pas une seule fois posé à ce monstre les questions recommandées par vous. Quand il est là, je suis comme paralysée; mais j’ai toujours essayé de dire de cœur ce que je ne puis de bouche. Son air est toujours séduisant. Le plus souvent, mes yeux se trouvent ouverts bien malgré moi, et son regard est si doux, il a quelque chose qui entraine. Si vous pouviez voir la souffrance que j’y
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moi souvent que cette bonne Mère m’aime toujours et que je suis son enfant bien indigne, c’est vrai, mais je l’aime du plus profond de mon âme.<lb/> Je vous promets avec le secours de cette bonne Mère de faire demain la Ste Communion». <lb/>La dame chez laquelle elle était en service partit alors et s’en retourna dans la ville de [[citesName::Désirée Léjeune|D. L.]], où cette dernière retrouva son ancien confesseur [[citesName::Mr. P.]].<lb/> Elle m’écrivit de là le <span style="color:Blue">22 juin 1876</span>. «Je n’ai pas une seule fois posé à ce monstre les questions recommandées par vous. Quand il est là, je suis comme paralysée; mais j’ai toujours essayé de dire de cœur ce que je ne puis de bouche. Son air est toujours séduisant. Le plus souvent, mes yeux se trouvent ouverts bien malgré moi, et son regard est si doux, il a quelque chose qui entraine. Si vous pouviez voir la souffrance que j’y
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[[Category:APUG 3009 pages]][[Category:La Vierge de Pellevoisin. Possession et Délivrance de D.L.]]

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moi souvent que cette bonne Mère m’aime toujours et que je suis son enfant bien indigne, c’est vrai, mais je l’aime du plus profond de mon âme.
Je vous promets avec le secours de cette bonne Mère de faire demain la Ste Communion».
La dame chez laquelle elle était en service partit alors et s’en retourna dans la ville de D. L., où cette dernière retrouva son ancien confesseur Mr. P..
Elle m’écrivit de là le 22 juin 1876. «Je n’ai pas une seule fois posé à ce monstre les questions recommandées par vous. Quand il est là, je suis comme paralysée; mais j’ai toujours essayé de dire de cœur ce que je ne puis de bouche. Son air est toujours séduisant. Le plus souvent, mes yeux se trouvent ouverts bien malgré moi, et son regard est si doux, il a quelque chose qui entraine. Si vous pouviez voir la souffrance que j’y